Bourse/Finance Le 04/03/2025
L'astuce inconnue pour garantir la protection de votre conjoint

La tontine, ou clause d’accroissement, est une disposition juridique méconnue mais utilisée dans certains couples pour organiser la transmission d’un bien immobilier ou d’un actif financier hors des règles classiques de la succession.

Bourse/Finance Le 04/03/2025
Contrat de mariage: la clé de l'harmonie conjugale

Un contrat de mariage détermine la structure juridique et financière du couple. Au-delà de la dimension sentimentale, il façonne la manière dont chacun participe à la vie économique de l’union, assume ses responsabilités et organise la transmission de son patrimoine.

Bourse/Finance Le 04/03/2025
Épargne et budget : réussir sa vie financière à deux

Gérer l'épargne au sein d'un couple est une étape cruciale pour assurer la réalisation de projets communs et maintenir une stabilité financière. Que vous soyez mariés, pacsés ou en union libre, il est essentiel de définir des objectifs clairs et de choisir les outils adaptés à votre situation.

Bourse/Finance Le 25/02/2025
Transférer son PEA : mode d’emploi pour éviter les mauvaises surprises

Changer d’établissement financier ou profiter d’une offre promotionnelle peut parfois s’avérer judicieux, en particulier si vous détenez un Plan d’épargne en actions (PEA). Contrairement à un contrat d’assurance vie, un PEA peut tout à fait être déplacé d’une banque à l’autre sans perdre les avantages acquis au fil du temps (l’antériorité fiscale).

Assurance vie Le 25/02/2025
Faut-il informer les bénéficiaires d'un contrat d’assurance vie ?

Souscrire une assurance vie implique de désigner des bénéficiaires, c’est-à-dire les personnes à qui reviendront les sommes investies en cas de décès. Mais faut-il pour autant les informer de cette disposition ?

Bourse/Finance Le 18/02/2025
Mutations immobilières : Des droits en hausse

Les droits de mutation à titre onéreux (DMTO), communément appelés frais de notaire, constituent un coût important lors de l’achat d’un bien immobilier. Actuellement, ces droits s’élèvent en moyenne à 4,5 % du prix d’acquisition du bien, mais peuvent atteindre 4,7 % dans certains départements.